Alerte aux pollens ! Les réponses de la kinésiologie.

Created by nikita from the Noun ProjectDame Nature a décidé récemment de recouvrir la Ville Rose d’une jolie moquette jaune. Les platanes sont à bloc, les vendeurs de mouchoirs en papier aussi. Mais ce moelleux printanier ne convient pas à toutes les muqueuses respiratoires. Alors je reçois depuis une dizaine de jours des appels nombreux et répétés de personnes demandeuses de se débarrasser de cette sensibilité au plus vite. Ce que je peux comprendre car la situation est des plus désagréables pour qui en souffre. Sauf que… Travail énergétique ne veut pas dire immédiat et HOP on appuie sur l’interrupteur et on oublie tout. Pour ça, voyez Mary Poppins, quelques étages au dessus. Faire un travail sur sa sensibilité pollinique est une démarche plus globale, plus longue, plus impliquante. Je pourrais vous faire plaisir et vous laisser baigner dans l’illusion que, oui, ça va partir d’un coup, vous faire une séance sur votre pollen qui provoque vos pires réactions, mais c’est pas comme ça que ça marche. Enfin, si, on peut le faire, mais dans trois semaines, on est de retour à la case départ, et vous pas content de la kinésio, qui continuez à éternuer.

Alors je reprends les bases. Quand on veut sortir des phénomènes allergiques, il existe une technique issue de la kinésiologie qui s’appelle la méthode NAET, et grâce à laquelle on va consolider peu à peu la réponse aux différents allergènes. Pour cela on va suivre un ordre précis, et traiter au moins le groupe des six allergènes principaux un à un avant d’arriver aux pollens. Et là encore, comme on doit respecter un temps d’éviction de la substance d’une durée de 25h après avoir effectué le travail énergétique, sans toucher ni inhaler, ni aucun contact d’aucune sorte, et bien il convient de traiter les pollens quand il n’y en a pas dans l’air, faute de quoi on ne respecte pas l’éviction et risque de faire ce travail pour rien. Donc on se débrouille pour arriver à traiter les pollens à partir de Toussaint, et en plein hiver, quoique cette année nous avons été pris de vitesse par des bourgeonnements précoces dès février.

Et comme nous ne sommes pas que des robinets à mucus, rien ne vous empêche de songer un peu à pourquoi vous ne pouvez pas vous le pifrer, vous personnellement, le platane. Un mauvais souvenir dans une pinède ? Un stress massif au pied d’un cyprès ? Une pelle à vélo finie dans un champ de colza ? Notre histoire n’est jamais pour rien dans ces histoires-là, et c’est un peu de notre rapport au monde qui est en jeu dans notre rapport aux pollens.

Alors je vous attends dès cet été pour commencer à consolider le système et être en mesure de faire les pollens à partir de l’automne et l’hiver prochains. Pour un printemps suivant resplendissant.

Références : NAET Europe : http://www.naet-europe.com/content/France/index.php

Par Frédérique Joucla – Kinésiologie

3 réflexions sur « Alerte aux pollens ! Les réponses de la kinésiologie. »

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